Fusil militaire

Le fusil est un type d'arme à feu pourvu d'un canon long et d'une crosse d'épaule.



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Fusil - Arme à feu

Le fusil est un type d'arme à feu pourvu d'un canon long et d'une crosse d'épaule.

Au départ le terme fusil désignait une petite pièce de métal conçue pour produire des étincelles en frappant une pierre de silex, utilisée pour déclencher le tir en mettant le feu aux poudres des arquebuses. Par synecdoque, le terme finit par désigner l'arme toute entière.

Silex à fusil et sa mordache

Dans les applications militaires, la carabine est une arme d'épaule proche du fusil, présentant néanmoins des dimensions, une puissance et une portée moindres.

En ce qui concerne les armes de chasse modernes le terme fusil sert à désigner une arme à un ou plusieurs canons lisses, destinée essentiellement au tir de cartouches contenant plusieurs plombs (projectiles sphériques en plomb, acier ou autre métal) et carabine est réservé à toute arme longue à canon (s) rayé (s) destinée au tir de munitions à projectile unique le plus souvent de forte puissance. On peut distinguer plusieurs types de fusils militaires selon leurs types d'âmes de canons, d'architectures et d'usages.

Icône de détail Article détaillé : Fusil de chasse.
Icône de détail Article détaillé : Carabine de chasse.

Historique

Les ancêtres du fusil sont la couleuvrine à main, l'arquebuse (fin XVe siècle) et le mousquet (du XVIe au XVIIIe siècle).

Certaines sources font remonter le fusil à l'an 1550, lorsque apparaissent des armes dont la mise à feu de la poudre est produite par un silex heurtant une pièce de métal nommée batterie.
L'appellation «fusil» semble cependant s'être vraiment substituée à celle de mousquet après l'invention de la baïonnette à douille par Vauban en 1687. Cette invention permettait le tir baïonnette au canon. Le fusil devenait une arme polyvalente remplaçant à la fois le mousquet et la pique. Les piquiers et mousquetaires pouvaient être remplacés par un seul type d'infanterie : le fusilier.

Les Anglo-Saxons ont cependant conservé pour l'arme d'infanterie l'appellation «musket» jusqu'à l'utilisation de canons rayés. Ils adoptèrent uniquement alors l'appellation «rifle» pour désigner le fusil militaire.

En France, le terme mousquet continua à dénommer certaines armes de cavalerie qui n'étaient pas pourvues d'une baïonnette. Pour les dragons, qui avaient un rôle d'infanterie à cheval et qui étaient équipés d'une baïonnette, on utilisa l'appellation «fusil de dragon».

Pendant presque deux siècles, le fusil à silex fut l'arme de base de l'infanterie. Ce n'est qu'à partir de 1830 qu'il est remplacé par le fusil à capsule de fulminate. La capsule consiste en un petit chapeau de cuivre contenant une goutte de fulminate de mercure et obturé par de la laque. La capsule apparaît dès 1810 avec une enveloppe en fer; pour des raisons d'oxydation, le fer sera finalement remplacé par du cuivre. La capsule est positionnée sur une petite cheminée menant à la chambre de l'arme. En frappant la capsule, le chien provoque l'explosion du fulminate et la mise à feu de la poudre. Pour des raisons économiques, il faudra cependant toujours attendre quelques années pour que ce nouveau fusil se substitue à l'ancien et toujours, car, le plus fréquemment, ce seront des anciennes armes qui seront transformées.

Le progrès suivant, qui apparaît rapidement, sera le chargement par l'arrière. Dès 1812, Jean Pauly, armurier suisse installé à Paris, fait breveter un fusil se chargeant par la culasse. L'arme proquait cependant des "crachements" vers l'arrière; ce qui pouvait être dangereux pour le tireur. Un de ses disciples, l'Allemand Dreyse parvint à résoudre le problème et dès 1848, les Prussiens disposent du fusil Dreyse qui se caractèrise par : verrou, cartouche en carton contenant l'amorce en fulminate en son milieu, percuteur à aiguille traversant la cartouche pour atteindre l'amorce centrale. A la même époque, apparaisssent aussi de nouvelles baïonnettes ayant la forme d'un sabre court courbé (yatagan). Les fusils à chargement par l'arrière entraînent deux autres améliorations techniques : la cartouche et le canon rayé ainsi qu'un progrès tactique : la possibilité pour le tireur de rester en position couchée pour recharger son arme.

En 1866, les Français adoptent le fusil Chassepot et transforment les anciens fusils en y installant une "tabatière"

En 1874, les armuriers ont mis au point la cartouche métallique; c'est-à-dire une munition composée d'une douille contenant la poudre, d'une amorce et d'une balle. Le fusil Chassepost est par conséquent transformé (entre autres : alésage de la chambre) et une nouvelle arme apparaît : le fusil Gras.

Dès 1880, le procédé de fabrication de la poudre sans fumée est découvert; ce qui sert à produire des armes plus efficaces et de diminuer les calibres.

Tous ces progrès techniques en quelques années amènent l'élaboration des fusils à répétition tels que le Lebel de 1886 et le Mauser de 1888. Un fusil à répétition célèbre avait déjà été mis au point aux Etats-Unis en 1866 : la Winchester.

Le fusil semi-automatique ne tarde pas à faire son apparition et en 14-18, les fusils-mitrailleurs sont alimentés par chargeurs et les mitrailleuses se multiplient.

Canon à âme lisse
Cal 12 Plombs N°8

L'âme (paroi interne) du canon de l'ensemble des plus anciens fusils était lisse. Par la suite ainsi qu'désormais seuls les fusils de chasse conçus pour tirer des plombs de chasse, c'est-à-dire des projectiles multiples positionnés dans la même munition par conséquent simultanément tirés au moyen d'un seul canon, ont conservé une âme lisse puisque les rayures n'ont aucun effet sur une gerbe de plombs. Ces fusils de chasse à âme lisse ont aussi été employé militairement, en premier lieu par des armées non régulières possédant peu de matériel, puis à partir de la première guerre mondiale pour des applications à courte portée où le pouvoir d'arrêt et le temps de réaction sont des facteurs importants.

En effet, le diamètre de la gerbe de plomb d'une telle arme augmente à mesure de sa progression, maximise la probabilité de toucher une cible en mouvement même après un temps de visée particulièrement court. La portée utile de ces fusils de chasse, de fort calibre, ne dépasse guère 50 mètres. De nombreuses munitions intégrant des plombs chacun plus ou moins gros sont disponibles.

Choke (rétreint)

Afin d'assurer une concentration plus ou moins prononcée de la gerbe ces fusils de chasse sont le plus souvent resserrés à la gueule du canon. L'anglicisme choke sert à désigner les degrés de rétreint (étranglement). Choke ou full choke pour un étranglement maximal, 3/4 choke, 1/2 choke, 1/4 choke, ou lisse.

Il existe, principalement pour les groupes d'intervention, des rétreints qui modifient la forme de la gerbe. Plutôt que de simplement jouer sur la dimension d'une gerbe circulaire d'un diamètre plus ou moindre, ils aplatissent la forme de la gerbe qui prend alors une forme ovale. Suivant les applications, la gerbe peut-être aplatie sur le plan horizontal pour maximiser les chances de toucher une cible ou sur le plan vertical pour minimiser les chances de toucher autre chose que la cible visée.

Balle

Balle Brenneke Cal12

Des cartouches contenant une balle unique, d'un type bien spécifique, peuvent aussi être employées dans un fusil à canon lisse. Originellement, conçues pour chasser du gros gibier comme le sanglier, elles permettent surtout de faire sauter une serrure.

La balle est pourvue d'un système perfectionnant la stabilité de sa trajectoire, le plus fréquemment des ailettes lui conférant une rotation que le canon lisse ne peut lui imprimer. Ce type de balle ne peut être tiré d'un canon présentant un choke. Il existe cependant des balles pouvant être tirées dans un canon choké, elles sont alors sous calibrées et enrobées d'un étui plastique capable de se comprimer au passage du choke (type Brenneke S ou Sauvestre, par exemple)

Âme rayée

Les fusils tirant une balle unique offrent une meilleure précision et portée. Des rayures en spirale gravées à l'intérieur du canon calent le projectile, durant sa course dans le canon (balistique intérieure), à distance identique des parois de l'âme pour diminuer le soufflage. Elles lui impriment aussi un mouvement de rotation assurant une trajectoire plus stable en réduisant la dérive occasionnée par la surpression des gaz sur un éventuel balourd. On trouve des rayures sur l'ensemble des armes à feu contemporaines tirant une balle unique. Elles ne sont pas faites au hasard et leur pas (nombre de tour pour une longueur donnée ou longueur d'un unique tour) doit correspondre à un type de munition donné, dans les cas extrêmes à un type de balle et de charge. Une arme tirant une munition trop inadaptée à ses rayures présentera une précision dégradée ou alors une usure accélérée.

Fusil à chargement par la gueule

Les premiers fusils étaient chargés par la gueule, où la poudre noire était dans un premier temps versée puis tassée. La balle était ensuite introduite dans le canon, quelquefois précédée d'un calepin conçu pour perfectionner l'étanchéité par conséquent à diminuer la déperdition de gaz. Des cartouches en papier contenant la poudre et la balle furent développées pour favoriser le rechargement. Le soldat devait la déchirer avec ses dents pour recharger son fusil. La naissance ultérieure de la cartouche métallique facilita et accéléra le chargement et laissa la place dans le domaine militaire aux fusils à verrou.

Nul ne produit plus de fusil à chargement par la gueule, outre quelques fabricants de répliques d'armes anciennes. Des études récentes pourraient cependant remettre cette architecture au goût du jour grâce à des munitions sans étui amorcées électriquement.

Fusil à canon basculant

Il s'agit d'un dispositif de rechargement spécifiquement simple où la totalité du (ou des ) canon (s) se désolidarise de la culasse et de la platine (arme) du dispositif de percussion en basculant d'un bloc vers l'avant, selon un axe perpendiculaire au plan de l'arme. Chaque canon accueille une cartouche dont l'étui vide peut ou non être extrait ou alors éjecté lors du basculement. Le tireur place ensuite une cartouche dans le canon et referme l'arme, armant ainsi le mécanisme de percussion.

Cette architecture est celle de nombreux fusils de chasse à âme lisse pourvus de deux canons superposés ou juxtaposés. Certains modèles rares dits drilling possèdent en plus un troisième canon rayé de calibre conventionnel. Cette architecture est spécifiquement rare dans le domaine militaire et se retrouvait principalement dans les armées peu équipées utilisant des armes de chasse.

Fusil à répétition manuelle

La fin du XIXe siècle a vu apparaitre des armes à répétition manuelle. Avec ce type d'arme, le rechargement est effectué par une action manuelle effectuée sur une commande quelconque. Certains de ces dispositifs perdurent.

Fusil à levier

Tout d'abord, des armes équipées d'un levier positionné derrière la détente ont été développées. Le premier modèle (Henry Rifle) nécessitait d'actionner le levier puis d'armer le chien. Des dispositifs exécutant les deux opérations en un seul mouvement furent ensuite diffusés, le plus célèbre est celui de la Winchester visible dans de nombreux films westerns. Leur magasin tubulaire (sous le canon) leur interdit de tirer la majorité des munitions de fusil dont la balle à ogive pointue, qui serait en contact avec l'amorce de la munition suivante par conséquent pourrait la percuter lors d'un choc. Ces armes n'étaient pas à proprement parler des fusils car, plus légères et moins puissantes, elles répondent à l'expression de carabine. Des carabines à levier de sous-garde sont toujours vendues mais ne connaissent plus qu'une diffusion anecdotique.

Ce type d'arme, en dépit de la puissance de feu qu'il offre ne connu pas un usage militaire significatif.

Fusil à verrou

Mosin-Nagant 1891/30

Les fusils à verrou apparurent vers la moitié du XIXe siècle et s'imposèrent progressivement dans les armées. Dans ce type d'arme, la culasse peut être ouverte et refermée comme un verrou en actionnant un levier dont elle est solidaire. Cette action éjecte l'étui, recharge l'arme et réarme son mécanisme de percussion. Le dispositif est à la fois d'un fonctionnement simple par conséquent facile à réaliser, compact, robuste et peu enclin à s'encrasser. Le verrouillage de la culasse étant spécifiquement solide et positionné dans le plan du canon, l'arme bénéficie le plus souvent d'une bonne précision. La majorité des fusils à culasse à verrou comprennent un chargeur de faible capacité. Cette architecture s'imposa à la fin du XIXe siècle dans les armées du monde. La majorité des armées étaient équipées de ce type d'architecture durant la seconde guerre mondiale, on la retrouve toujours utilisée pour les fusils de précision.

L'emploi du mot verrou dans ce terme est un héritage et n'implique pas que les culasses d'autres types en sont dépourvues.

Fusil à pompe

Apparu à la fin du XIXe siècle, le fusil à pompe est une arme équipée d'un canon à âme lisse et d'un magasin tubulaire où les têtes des cartouches, plates et/ou molles, ne risquent pas de percuter l'amorce de la cartouche précédente. La répétition s'opère en imprimant un mouvement de va-et-vient à la garde avant de l'arme, positionnée sur un rail monté sous le canon constitué par le chargeur tubulaire. Ce dispositif est plus efficace que le levier de sous-garde car il permet au tireur de recharger l'arme en la gardant épaulée et sans déplacer sa main forte.

L'usage militaire de cette arme, appelée alors fusil de combat, se justifie dans les contextes où les engagements se font à courte portée et nécessite un temps de réaction minimal et un pouvoir d'arrêt important.

Fusil semi-automatique

Les militaires cherchèrent longtemps à produire un fusil dont le rechargement soit opéré automatiquement de sorte que l'arme tire sans exiger d'autre action qu'une pression sur la queue de détente. Pour cela certains tentèrent d'employer une part de l'énergie de la première cartouche tirée. Les premiers modèles d'armes semi-automatiques apparurent à la fin du XIXe siècle mais ne se sont réellement répandus dans les armées qu'après 1930. Ils augmentaient énormément la cadence de tir. Leur utilisation est tombée en désuétude dans le courant des années 1950 avec la naissance du fusil d'assaut, qui tire une munition de puissance intermédiaire à celles du pistolet et du fusil et qui sont capable d'un tir automatique.

Fusil automatique

Les fusils d'assaut, comme ce SIG-550 ou Fass 90 de l'armée suisse, sont capables de tir automatique. Certains offrent de surcroit le tir contrôlé (courte mais particulièrement rapide rafale, le plus fréquemment de trois coups) ou semi-automatique.

Le premier fusil automatique de dotation apparut durant la Première Guerre mondiale sous l'intitulé de fusil mitrailleur. Pesant (7 à 8 kg) et encombrant, il tenait du fusil conventionnel, dont il tirait la munition, mais également de la mitrailleuse, dans la mesure où il tirait par rafales. Le fusil-mitrailleur tomba en désuétude en faveur de la mitrailleuse légère, plus puissante, complétée par le fusil d'assaut, moins lourd et plus rapidement mis en action.

Fusil de tir de précision

Il s'agit le plus fréquemment de modèles équipés d'une lunette optique qui sert à distinguer sa cible à longue distance. Pour plus de détails, voir l'article fusil de précision.

Fusil "de combat"

Benelli M4, un exemple de fusil à âme lisse destiné au combat. Son mécanisme permet la répétition semi-automatique et manuelle à pompe pour s'adapter à l'ensemble des puissances de munitions mais aussi pour faire face aux incidents de tir

Un Fusil de combat (en anglais Combat shotgun) est une arme longue à canon lisse conçue pour des opérations de police ou au combat rapproché chez les militaires. Il existe dans cette catégorie des fusils à pompe ou semi-automatique.

Il tire des cartouches contenant le plus fréquemment de la chevrotine de différentes tailles ou plus rarement une balle. Pour concentrer la gerbe de plomb, le canon est fréquemment resséré à la gueule. On utilise alors l'anglicisme choke (étranglement)  : pas de choke, 1/4 de choke, 1/2 de choke, 3/4 de choke ou choke. Les unités spéciales peuvent employer des rétreints modifiant la forme de la gerbe, soit en l'aplatissant horizontalement pour maximiser les chances de toucher la cibles, soit verticalement pour limiter les chances de toucher autre chose que la cible visée.

L'US Army adopta à la fin du XIXe siècle le premier fusil de combat moderne à répétition. Le baptême du feu des FC eut lieu aux Philippines contre les Moros.

Les modèles actuels les plus utilisés aujourd'hui sont fabriqués aux États-Unis et en Italie

Quand la portée indispensable ne dépasse pas une trentaine de mètres, par conséquent surtout dans des locaux, certains soldats et policiers emploient quelquefois des fusils à canons lisses sans choke car :

  • l'aire décrite par les plombs d'une gerbe de chevrotine augmente significativement après à peu près 3 mètres de vol, et avec elle la probabilité d'impact en cas de visée rapide par conséquent approximative
  • des impacts multiples simultanés renforcent l'effet vulnérant
  • la portée pratique demeure limitée car l'énergie résiduelle décroît vite alors que la dispersion augmente, réduisant la probabilité d'impact utile
  • la nature des plombs n'induit guère de mise en danger de tiers par des ricochets ou par sur-pénétration de parois. Une balle, en particulier blindée, tend à ricocher ou à franchir les parois intérieures (en particulier non porteuses par conséquent fréquemment constituées de plâtre), tandis qu'un plomb s'y écrase plus fréquemment
  • le fusil est polyvalent car tire, si indispensable, des munitions spéciales :
    • à projectile (s) non létal, par exemple en caoutchouc dur
    • capable de briser une serrure ou un cadenas, par conséquent d'ouvrir une porte lors d'un assaut

De nombreuses armées et polices emploient ces fusils parce qu'ils sont presque semblables aux modèles utilisés pour la chasse par les civils, par conséquent que de nombreux enrôlés les connaissent, ce qui diminué le coût de leur formation. D'autre part les armes, pièces et munitions coûtent moins cher que les modèles particulièrement mis au point pour les besoins des policiers (dits Riotgun pour fusil anti-émeutes) et des militaires (dits Trench gun pour fusil de tranchée).

Des modèles capables de tir automatique augmentant la saturation (donc la probabilitéud'atteindre la cible ou en tous cas de gêner sa riposte) existent, et ce depuis l'époque de la guerre du Viêt-Nam où il s'agissait de modèles "civils" modifiés pour permettre à l'utilisateur de tirer en rafales. Cependant quelques problémes de fiabilité (liés à l'intrusion dans le mécanisme de sable, de poussière ou de boue, ainsi qu'à la chaleur dégagée par le tir automatique qui pouvait faire fondre le plastique des cartouches) firent que fréquemment nombreux furent les membres des Forces Spéciales américaines à leur préférer des modèles fonctionnant en semi-automatique seulement. À titre d'exemple, un Navy Seal agissant comme "Point Man" (envoyé seul à l'avant de l'escouade pour détecter les embuscades) essaya d'emporter un de ces fusils modifiés pour le tir automatique mais le remplaça, après un enrayage subit lors d'une embuscade, par un modèle à pompe.

Les fusils de combat particulièrement récents particulièrement conçus pour fonctionner en mode automatique et semi-automatique n'ont plus ces problèmes de fiabilité, mais sont plus encombrants. Alimentés par boîtiers-chargeurs, ils offrent désormais d'une puissance de feu supérieure à celle des modèles à chargeur tubulaire. Leur masse élevée diminué le recul mais le tir automatique doit néanmoins se faire par courtes rafales pour limiter le relèvement du canon.

Voir aussi

Liens externes

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"C'est un ancien fusil militaire ..."

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